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ESENJ

Burn Out
60 x 73 cm
Acrylique sur toile

Le tableau « Burn-out » représente une personne dépassée par ses émotions et par ceux qui l’entourent. Il subit une perte de contrôle sur ses émotions et il ressent une douleur psychique. Un mal-être très profond s’ancre en lui. Il rentre dans une dépression qu’il n’est pas sûr de pouvoir contrôler. Le burn out, la dépression, est un mal qui est malheureusement très fréquent. Vêtu d’une tenue de prisonnier, le personnage est étouffé par la souffrance de ses émotions et par les pensées qui le hantent. Le personnage ressent ses émotions de façon si intense et douloureuse qu’il se sent submergé, oppressé, voire incapable de les exprimer ou de les gérer. Cette souffrance émotionnelle peut provoquer un sentiment d’étouffement, comme si le poids des émotions l’empêchait de respirer ou d’avancer. Les têtes l’entourant représentent l’écho de ses propres pensées et le poids des mots des autres sur lui. Ne contrôlant plus rien, il souffre. Son regard est vide, il est comme une personne sans âme. Il est perdu et enfermé dans le vide ; il y a comme un voile dans ses yeux. Il est là sans être là. Prisonnier de ce monde de douleur, le monde qui l’entoure n’existe plus. C’est comme s’il était sous l’eau ; il y a un brouhaha constant mais il n’arrive plus à déchiffrer ou comprendre les autres ou ses propres émotions.

Eden's Abyss
116 x 89 cm
Acrylique sur toile

Rupture
80 x 60 cm
Acrylique sur toile

ESENJ explore avec force la violence intérieure d’une séparation, qu’elle soit amoureuse, amicale ou familiale. Deux silhouettes centrales, fragmentées et cernées de contours noirs, se font face tout en étant séparées par un vide éclatant. Les couleurs, d’abord mêlées, explosent en fragments qui flottent dans un espace blanc, symbolisant la dislocation de ce qui a été construit. Le personnage de gauche, marqué par une larme, incarne la tristesse et la vulnérabilité, tandis que celui de droite, la tête inclinée, suggère l’indifférence ou le détachement. Par ce jeu de matières et de formes éclatées, l’artiste donne à voir l’impact psychologique de la rupture, la dispersion des souvenirs et l’isolement qui s’ensuit, tout en laissant entrevoir la possibilité d’une reconstruction à partir des fragments.

Mediterranean
100 x 80 cm
Acrylique sur toile

Entre barrières de la loi et mer tourmentée, Mediterranean confronte deux réalités : en haut, des silhouettes blanches aux visages barrés, symboles d’un refus institutionnel. En bas, des visages bleus, figés dans l’effroi, émergent des flots. Aucune main tendue, on détourne le regard. Le lien est rompu. Dans cette œuvre sobre et percutante, ESENJ donne corps à l’indifférence, à la mémoire refoulée, aux frontières qui séparent plus qu’elles ne protègent. Une peinture manifeste, où la mer n’est plus un paysage, mais un cimetière.

Hope
116 x 89 cm
Acrylique sur toile

ESENJ met en scène un personnage angélique tendant la main vers un monde en souffrance. Portant sur son dos une structure chaotique. C’est une métaphore des vies oubliées et des êtres en détresse. La figure centrale incarne la compassion, la bonté et l’acte de soutien désintéressé. Une aile blanche surgit discrètement à la base de cette charge, symbolisant la lumière intérieure de celles et ceux qui se battent pour élever les autres. La main tendue offre une bougie : un geste simple mais porteur d’un message puissant : il y a de l’espoir. Face aux prisons invisibles, aux vies cloisonnées, l’artiste nous rappelle l’importance de l’entraide. Hope est un appel à la solidarité, à l’empathie et à l’humanité.

Humanitarian Bridge
116 x 89 cm
Acrylique sur toile

The Wall of my Suffering
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Just(ice)
40 x 50 cm
Acrylique sur toile

Dans cette œuvre saisissante, ESENJ questionne la justice et son humanité. La figure centrale, à la fois imposante et dédoublée, incarne une autorité judiciaire dont le visage se dissout dans un bleu glacial. Le mot « JUSTICE », dont le « JUST » est barré, ne laisse subsister que « ICE » : la glace. Autour, une foule de visages anonymes, de silhouettes perdues, témoigne de la solitude et de la détresse de ceux qui cherchent une écoute ou une réparation. L’institution, censée protéger, apparaît ici froide, distante, presque inhumaine, coupée de la réalité des hommes. ESENJ livre une réflexion poignante sur la perte de sens et de chaleur humaine dans les systèmes de pouvoir, et nous confronte à cette question essentielle : que reste-t-il de la justice quand elle n’est plus juste, mais seulement glaciale ?

The Indifference
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Indifférence est une œuvre puissante qui explore, sans détour, la fracture entre richesse, confort et l’inaction face à la souffrance humaine. Divisée en trois scènes, la toile juxtapose les extrêmes : à gauche, une ville opulente et colorée symbolise la prospérité, masquant dans ses ombres une froide indifférence. À droite, la mort et l’enfermement sont incarnés par une silhouette rouge cachée derrière une faucheuse, enfermée derrière une grille noire. Au centre, une tornade blanche anthropomorphe s’élève de la mer agitée, représentant les âmes englouties, les naufragés oubliés. Des mains blanches émergent de l’eau, comme des appels silencieux à l’aide, soulignant la vulnérabilité et l’innocence des victimes. La figure d’un homme à la tête grise, aux yeux rouges et à la langue tirée incarne l’hostilité volontaire et le mépris. L’artiste y dénonce l’aveuglement délibéré, la fermeture de frontières, et l’égoïsme des sociétés qui choisissent l’indifférence malgré leur abondance. Par cette œuvre, ESENJ appelle à une prise de conscience, à raviver notre humanité et à refuser de détourner le regard. Indifférence nous interpelle : jusqu’à quand accepterons-nous d’être spectateurs passifs de la détresse des autres ?

Freedom, Equality and Justice
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Dans une composition frontale et symbolique, ESENJ met en scène la lutte universelle pour la liberté, l’égalité et la justice. Au sommet, une sphère représentant la Terre, cerclée de barbelés, enferme ces idéaux fondamentaux, soulignant leur fragilité et leur inaccessibilité. Deux personnages rouges, accablés par le poids de murs et d’habitations, tentent d’atteindre la sphère en escaladant des échelles, mais se heurtent à la figure centrale, gardienne et obstacle, dont les bras triangulaires rappellent la lame d’un couteau. Entre aspiration collective et forces d’oppression, l’œuvre interroge le prix à payer pour conquérir ces valeurs essentielles, et invite à réfléchir sur les sacrifices nécessaires pour les rendre accessibles à tous.

Reverse Time
70 x 50 cm
Acrylique sur toile

Spectactor of a world that devours me
40 x 40 cm
Acrylique sur toile

Face à cette œuvre, chacun peut ressentir ce moment où le monde semble refermer ses griffes sur nous. La figure centrale, à la fois présente et en train de disparaître, incarne ce sentiment universel de solitude au cœur de la foule, de lutte silencieuse pour ne pas se perdre dans le tumulte extérieur. Les structures qui entourent le personnage rappellent à quel point la pression sociale, les exigences du quotidien ou l’anonymat de la ville peuvent nous engloutir, jusqu’à effacer nos contours. ESENJ nous invite à une réflexion intime sur notre propre place dans la société : sommes-nous encore acteurs de nos vies ou simples spectateurs, lucides mais impuissants, face à un monde qui parfois nous dévore ? Une réflexion sur la condition humaine contemporaine, entre observation lucide et sentiment d’être dévoré par la société.

The Shadow of Ourselves
50 x 50 cm
Acrylique sur toile

Dans cette œuvre saisissante d’ESENJ, l’humain est partout... et pourtant nulle part. Les silhouettes se répètent, s’effacent, se confondent. Chacune semble enfermée dans un cadre, assignée à un rôle, piégée dans une posture mécanique, presque automatique. Elles ne sont plus des individus, mais des ombres, des esquisses. Elles deviennent l’ombre d’elles-mêmes. Le mouvement est figé, la liberté absente. Les corps semblent suivre une chorégraphie imposée, comme si la ville, ou le système, avait absorbé toute initiative, toute expression sincère. On ressent l’écho d’une société qui fabrique des êtres standardisés, interchangeables, déshumanisés à force de conformité. La ville, à la fois vibrante et étouffante, impose son rythme. Ses règles. Elle ne laisse plus de place à l’aléatoire, à l’intime. L’humain devient une interface, une fonction dans un monde normé, un acteur sans texte dans un théâtre sans public. À travers cette toile, ESENJ propose une critique radicale du quotidien moderne. Il pointe l’aliénation, la perte du sens, l’extinction progressive de l’être dans l’apparence, tout en laissant affleurer une forme de mélancolie : celle d’un monde où l’on continue à exister, mais plus vraiment à vivre.

Fighting for the Island
50 x 50 cm
Acrylique sur toile

Au cœur d’un paysage tourmenté, cette œuvre évoque une terre sauvage, autrefois en harmonie avec ses habitants et les forces naturelles. Aujourd’hui menacée par l’arrivée d’une nouvelle civilisation, l’île est défigurée. Les visages humains, animaux et minéraux surgissent de la matière. Ils sont comme des gardiens blessés et d’esprits en résistance face à la bétonisation, à l’assèchement et à l’oubli. Entre fantastique et allégorie politique, ESENJ livre ici un cri visuel : celui de territoires spoliés, de traditions balayées, de natures silencieusement détruites. «Cette île, c’est peut-être la nôtre.»

Influenced
116 x 89 cm
Acrylique sur toile

The Decision-Makers
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Tyrant
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Connected
80 x 100 cm
Acrylique sur toile

Connected célèbre ce qui relie les êtres humains au-delà des frontières visibles. Silhouettes entremêlées, lignes fluides et couleurs mêlées tissent une tapisserie humaine, riche de nos différences et de notre interdépendance. Chaque figure, unique, s’inscrit dans un tout : un monde où chaque interaction crée un lien, où chaque présence compte. Par ses teintes vives et ses formes organiques, ESENJ donne à voir l’énergie d’un monde connecté — non par les réseaux, mais par la solidarité, l’empathie, et l’humanité.

The Melting Ice
60 x 80 cm
Acrylique sur toile

Cette œuvre dénonce la fonte des glaces, symbole du réchauffement climatique causé par l’Homme. Au centre, une cascade glacée abrite le visage d'une créature au visage torturé, reflet de la souffrance de la nature et de notre propre culpabilité. Les couleurs glacées, entre bleu et blanc, symbolisent la beauté fragile d’un monde en train de disparaître. The Melting Ice nous confronte à la vérité : nous sommes responsables de cette destruction. Il est temps de changer nos habitudes, d’agir maintenant avant qu’il ne soit trop tard.

The Man and The Monkey
60 x 80 cm
Acrylique sur toile

Cette œuvre met en lumière la menace imminente qui plane sur la nature. Un homme et un singe se tiennent dans un monde luxuriant, baigné de couleurs vibrantes, mais l’expression choquée de l’homme révèle la prise de conscience terrifiante de la destruction qui s’approche. L’homme représente tous les amoureux de la nature. Il regarde avec stupeur la dégradation qui l’entoure, témoin de la disparition des espèces et de la dévastation provoquée par l’activité humaine. Le singe, fragile et innocent, incarne notre lien indissociable avec le règne animal et notre responsabilité envers toutes les formes de vie. L’environnement, tout en splendeur, cache une sombre vérité : le danger se rapproche. La nature personnifiée semble se refermer sur elle-même, symbole d’un écosystème en déclin, pris au piège par la déforestation et le réchauffement climatique. The Man and the Monkey est un rappel brutal de notre rôle dans l’effondrement de notre planète. Cette œuvre ne nous laisse d’autre choix que de regarder en face notre responsabilité et l’urgence d’agir.

The Mirage
81 x 100 cm
Acrylique sur toile

Dans cette vision suspendue, une ville utopique flotte au loin, baignée de lumière et d’harmonie. Protégée par un pont majestueux, elle semble nous tendre la main. Deux portes illuminées ouvrent sur un ailleurs, une promesse de paix. Mais la ville est floue, incertaine —un mirage. ESENJ interroge : cette cité idéale existe-t-elle vraiment, ou n’est-elle qu’une projection de nos espoirs dans un monde qui vacille ? À travers cette œuvre, l’artiste nous pousse à rêver plus grand, mais aussi à agir pour transformer nos mirages en réalités. The Mirage nous pousse à garder les yeux ouverts, à ne pas cesser d’imaginer un monde meilleur, plus juste, et plus humain.

L'Homme à Nu
60 x 80 cm
Acrylique sur toile

Debout, exposé sous l’allégorie d’un scanner, l’homme n’a plus rien à cacher. Le squelette, mis à nu par le "scanner", devient le symbole de notre égalité fondamentale. Qu’on soit puissant ou pas, riche ou pauvre, célèbre ou anonyme, notre structure intime est identique. Le tableau affirme ainsi : il n’y a pas de supériorité possible entre les êtres humains. Nous sommes tous égaux, tous vulnérables, tous semblables dans notre humanité profonde. L’artiste ESENJ utilise le scanner médical comme métaphore. Le scan ne s’arrête pas à l’apparence : il traverse la peau, les habits, les masques sociaux. Il révèle ce qui est invisible à l’œil nu, ce que nous avons en commun, ce que nous ne pouvons ni cacher ni modifier. Dans cette œuvre, le scanner devient un outil de vérité, d’humilité, mais aussi de fraternité. Il invite à dépasser les jugements superficiels et à reconnaître la dignité de chacun, simplement parce qu’il est humain.

The Water War
54 x 65 cm
Acrylique sur toile

Water War alerte sur l’un des enjeux majeurs de notre époque : la raréfaction de l’eau et les tensions qu’elle engendre. ESENJ y dénonce l’inégalité face à cette ressource vitale, les effets du réchauffement climatique, et les risques croissants de famine, d’exode et de conflits. Cette œuvre nous rappelle l’urgence d’une action collective pour préserver l’eau, réduire les inégalités et éviter que le monde ne bascule.

The Associates
81 x 100 cm
Acrylique sur toile

Dans cette œuvre, ESENJ met en scène un groupe de personnages guidés par l’égo, l’avidité et le pouvoir. Sous des airs bienveillants, ils manipulent, dominent et éteignent la lumière des autres pour mieux briller seuls.Leur devise : Business is business.

The Souls
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Des silhouettes sans visage et sans identité. Juste des contours, suspendus dans un tumulte de couleurs vives et sombres. Ici, l’humain n’a plus de corps — il est âme et énergie. Dans ce tourbillon incandescent, chaque figure semble flotter entre deux mondes. Certaines montent, d’autres s’effondrent. Aucune n’est entièrement lumière ou entièrement ombre. Toutes portent, en silence, le poids d’un destin. ESENJ ne peint pas des individus, mais l’humanité dans ce qu’elle a de plus nu : chacun cherche sa voie. C’est le cycle de la vie. Parfois on est en haut et parfois on est en bas et ce n’est pas forcément de notre choix. The Souls est une vision de nous-mêmes, dépossédés, traversant les épreuves de la vie.

The City of Hell
80 x 60 cm
Acrylique sur toile

Dans The City of Hell, ESENJ dresse le portrait d’une métropole en ruine, consumée par ses propres excès. Quatre crânes aux sourires figés flottent au-dessus d’un chaos urbain en flammes. Ils semblent suspendus, mécaniques et vidés d’humanité. Autant de témoins ou complices d’un monde devenu invivable. Les teintes rougeoyantes évoquent l’incendie, la rage, la violence, tandis que les bleus et noirs profonds soulignent une atmosphère d’asphyxie, de nuit permanente. Par une composition frontale, presque claustrophobe, l’artiste évoque l’effondrement d’une civilisation où les morts rient encore, ou peut-être rient-ils de nous. On pense aux architectures carcérales, aux paysages industriels abandonnés, aux villes qui broient plus qu’elles n’abritent. The City of Hell est un miroir : il reflète la banalisation de l’horreur dans notre quotidien, et la place que nous y occupons.
Spectateurs d’un enfer que nous avons contribué à bâtir.

The Ghost Town
70 x 90 cm
Acrylique sur toile

Dans Ghost Town, ESENJ peint le silence assourdissant des villes abandonnées. Jadis pleines de vie, ces cités ont été désertées à la suite de catastrophes naturelles, de conflits, d’accidents industriels, mais aussi de mécanismes économiques impitoyables. Certaines villes se vident simplement parce qu’elles ne “valent” plus rien dans un système qui sacrifie les territoires à la rentabilité. L’œuvre met en lumière la fragilité de nos sociétés face aux forces qu’elles génèrent elles-mêmes. Le vide, l’abandon, la fuite : autant de symptômes d’un monde où l’humain devient secondaire, déplacé selon les logiques du marché ou balayé par les erreurs du passé. Ghost Town n’est pas qu’un paysage figé : c’est un avertissement. Ces ruines parlent de déséquilibres profonds, d’inégalités croissantes, d’un monde qui oublie sa propre mémoire. Elles nous rappellent que tant que l’économie primera sur l’humain, d’autres villes tomberont en silence

Justice
70 x 50 cm
Acrylique sur toile
Dans Justice, ESENJ donne corps à l’injustice avec une force troublante. Sur arrière-plan sombre, presque funèbre, trône une figure squelettique en robe d’avocat, sourire doré aux dents : une caricature glaçante de l’autorité judiciaire. La balance, faussée par sa propre main, n’est plus symbole d’équité mais d’un pouvoir biaisé. Cette figure grotesque incarne un système qui prétend juger au nom de la loi mais reproduit les inégalités sociales, raciales, économiques ou territoriales. L’or brille là où l’injustice s’achète, et la robe d’apparat masque les privilèges. Par cette œuvre, ESENJ pointe les failles d’un ordre qui se veut impartial mais reste profondément inégalitaire. Justice n’est pas une accusation isolée, c’est un cri pictural contre un système qui condamne à l’aveugle les uns pendant qu’il absout les autres. Ce tableau est une interpellation : à quand une justice pour tous ? Une justice sans masque, sans privilèges, sans main invisible sur la balance.

The Priestess
70 x 90 cm
Acrylique sur toile

Explorer
81 x 100 cm
Acrylique sur toile

À travers Explorer, ESENJ célèbre l’audace de la connaissance et le pouvoir du partage. Un navire aux accents rétro-futuristes fend un paysage rocheux, surmonté d’une parabole multicolore : symbole des savoirs acquis et de ceux encore à découvrir. Face à lui, une silhouette de pierre semble incarner l’ignorance. L’œuvre évoque le passage de l’ombre à la lumière, et la responsabilité de transmettre ce que l’on apprend. Explorer est une ode à la curiosité, à l’éducation et au courage d’avancer vers l’inconnu.

The Devil with many faces
50 x 50 cm
Acrylique sur toile

ESENJ esquisse un diable aux multiples facettes. Elles ne sont que des leurres, des stratégies d’un manipulateur par excellence. Ce diable n’a rien d’abstrait — il prend les traits d’une personne bien réelle, celle qui adapte son visage à chaque circonstance pour mieux séduire, dominer et trahir. Ce polymorphe prend les traits d’un manipulateur, maître des émotions et du mensonge. Son sourire est utilisé comme leurre, signe de son hypocrisie. The Devil with Many Faces pointe un mal bien plus insidieux : celui de l’hypocrisie, du mensonge maquillé en bienveillance, du charme utilisé comme arme. Ses milles visages nous mettent en garde contre les faux-semblants et les influences toxiques que l’on accepte parfois trop volontiers. Tous les humains portent en eux plusieurs facettes adaptées aux différentes situations de la vie, mais chez certains elles sont utilisées comme une arme. Dans The Devil with Many Faces, ESENJ incarne cette figure trouble à travers un diable composé de visages multiples, peints en cyan, rouge vif et rouge brique. Chaque masque évoque une émotion, un mensonge. ESENJ nous invite à reconnaître ces figures dans notre quotidien, mais aussi en nous- mêmes. L’œuvre questionne notre rapport à la sincérité, à la complexité humaine, et au pouvoir destructeur des apparences bien calibrées.

Subject n°2705
50 x 50 cm
Acrylique sur toile

Subject n°2705 nous confronte à la réalité des expérimentations animales, en exposant la souffrance invisible et silencieuse infligée aux êtres vivants dans les laboratoires. Au cœur d’un fond noir oppressant, une silhouette animale flottante et sans visage exprime la douleur par sa posture courbée, ses teintes grisées et ses éclats rouges. Reliée à un dispositif expérimental par un tube, la créature devient symbole de toutes celles soumises à des tests invasifs. Par cette œuvre, l’artiste dénonce la violence institutionnalisée et appelle à une prise de conscience. En contemplant cette scène, le spectateur est invité à réfléchir à sa propre responsabilité envers les animaux, et à soutenir des alternatives éthiques, plus humaines et respectueuses de la vie. Subject n°2705 remet en question les normes établies au nom du progrès, et propose une vision de la science fondée sur la compassion.

Look at the sky
70 x 90 cm
Acrylique sur toile

Scène de vie
50 x 70 cm
Acrylique sur toile

Selfie
70 x 90 cm
Acrylique sur toile

No Name
81 x 100 cm
Acrylique sur toile

Coming soon, you will find the paintings from the new collection, HUMAN, right after its exhibition in Paris.

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